Maurice : le meilleur protocole anti-Covid de l’aéroport de Plaisance, le m
Soyons heureux pour nos amis mauriciens qui subissent les vents contraires depuis bientôt un an. Cette semaine, le Conseil international des aéroports a rendu son rapport sur les mesures sanitaires et les protocoles, dans ces lieux si sensibles, dans la lutte contre la pandémie de Covid-19. L'île Maurice tient la première place du classement en Afrique. Inévitablement, des "haters" ne pourront pas s'empêcher de fustiger cette première place et contester l'analyse des spécialistes. Cependant, et au-delà du petit monde d'Internet, c'est une très bonne nouvelle pour les acteurs touristiques de l'île Maurice. Les tests effectués à la sortie des avions, le placement des voyageurs dans des centres, pendant 14 jours (France Diplomatie) et les tests effectués avant de leur permettre de profiter de leur séjour ou de réintégrer leur foyer ont manifestement freiné la progression du virus dans la population. Un cas a été détecté, mercredi 3 mars 2021 dans un centre de quarantaine écrit L'Express de Maurice. La prévention permettra la reprise Tous les aéroports du monde sont évalués. L'ACI a été instauré en 2020 afin d'aider les pays à lutter contre l'arrivée de la Covid. Ces lieux emblématiques sont des portes d'entrée pour le virus et, désormais, l'unique fenêtre ouverte sur le monde quand il est question d'une île dont les ports laissent passer, seulement, les marchandises. "Cette récompense témoigne des efforts de tout un chacun pour mettre en place un protocole strict dans le cadre du contrôle de la Covid-19. Maintenant, nous attaquons la phase de vaccination de nos employés," explique à Radio One, Girish Apayah, responsable de communication d’Airports of Mauritius Ltd. Anoop Nilamber, proche conseiller du Premier ministre et officier en charge de la Mauritius Duty Free Paradise (MDFP), s'est déclaré heureux de cette annonce officielle. Il espère qu'elle permettra à Maurice de relancer son économie touristique quand les conditions le permettront. Il veut travailler avec les aéroports de la la région afin : "de mieux contrer la pandémie et favoriser la reprise", note Défimédia.
Clubhouse, le réseau social audio qui fascine et inquiète
Le masque ? Non merci. Le vaccin ? Sûrement pas ! La distanciation sociale ? Tellement 2020. Ce 24 février, on se retrouve entre potes au Cotton Club. Ça écoute des vieux standards, ça chante, ça gratouille la guitare, et en fermant les yeux, on se croirait presque revenu dans les années 1920. Pas de Duke Ellington sur scène, l’hôte s’appelle Bomani X. Comme toutes les semaines, on joue à guichets fermés, ce mercredi, et les milliers de spectateurs ne tiendraient pas dans un club de jazz enfumé. Mais là, pas de bousculade : tout le monde est chez soi. C’est aussi cela, la folie Clubhouse : de beaux moments de musique, de comédie ou de rencontres pour tous ceux qui, en cette période Covid, sont avides de se parler, de s’écouter, de s’entendre et, oui, de partager le « plonk-plonk » de leurs guitares. Un emballement formidable Lancé il y a un an, le réseau social audio a décollé comme une fusée ces dernières semaines, boosté par une apparition d’Elon Musk, le patron de Tesla, le 1er février. Du jour au lendemain, le nombre d’usagers est passé de 3 à 5 millions, avec plus de 10 millions de téléchargements à ce jour. Sur l’App Store d’Apple, l’application est dans le peloton de tête en Allemagne, en Italie, au Japon. Pas mal, pour un « club » où il faut encore se faire inviter par un membre pour être admis. D’un pays à l’autre, les rooms de conversation varient. Aux Etats-Unis, les geeks de la Silicon Valley, qui dominaient au début, partagent désormais la vedette avec des activistes
Citigroup: Bitcoin Is at a Tipping Point, Could Become Preferred Currency for International Trade – Featured
Citigroup’s Global Perspectives & Solutions (GPS) team released a 108-page report Monday entitled “Bitcoin At the Tipping Point.” The Citi GPS report explains that “the biggest change with bitcoin is the shift from it being primarily a retail-focused endeavor to something that looks attractive for institutional investors.” The firm attributes the change to “Specific enhancements to exchanges, trading, data, and custody services” that are “increasing and being revamped to accommodate the requirements of institutional investors.” Highlighting “the advantage of bitcoin in global payments, including its decentralized design, lack of foreign exchange exposure, fast (and potentially cheaper) money movements, secure payment channels, and traceability,” the report details: These attributes combined with bitcoin’s global reach and neutrality could spur it to become the currency of choice for international trade. The report also explains that bitcoin has seen three different stages of focus so far: technological oddity, censorship-resistant money, and digital gold. It further predicts that we will soon see a fourth stage of focus as bitcoin transitions to becoming an international trade currency. “This would take advantage of bitcoin’s decentralized and borderless design, its lack of foreign exchange exposure, its speed and cost advantage in moving money, the security of its payments, and its traceability,” the Citi report describes. While pointing out a number of remarkable developments in bitcoin over the past seven years, the report outlines a few obstacles in the cryptocurrency’s way to becoming a globally-used “trade currency.” Among them are marketplace security — including tether’s role to bitcoin — the environmental impact of mining, and institutional concerns, such as capital lock-up, insurance, and custody limitations. The report adds: There are a host of risks and obstacles that stand in the way of bitcoin progress. But weighing these potential hurdles against the opportunities leads to the conclusion that bitcoin is at a tipping point and we could be at the start of massive transformation of cryptocurrency into the mainstream. “Bitcoin’s future is thus still uncertain,” the report additionally asserts, reiterating that “developments in the near term are likely to prove decisive as the currency balances at the tipping point of mainstream acceptance or a speculative implosion.”
Le co-fondateur de Google veut créer un dirigeable 0 émission –
Le co-fondateur de Google, Sergey Brin, souhaite révolutionner le transport aérien en créant sa startup de dirigeables LTA Research. Leur particularité : un fonctionnement grâce à une pile à hydrogène géante. Le nouveau projet de Sergey Brin ? Créer un gigantesque dirigeable fonctionnant à l’aide d’une pile à combustible à hydrogène. Un projet 0 émission qui pourrait participer au renouveau du secteur des transports aériens. Ce dirigeable de très grande taille aura pour mission, dans un premier temps, de porter secours aux sinistrés lors de catastrophes naturelles et sera mis à disposition de certaines ONG. L’appareil devra ainsi être en mesure de se déplacer sur de longues distances et de transporter des charges lourdes, comme des vivres ou du matériel médical. Mais le principal défi pour la jeune pousse sera de réussir à créer une pile avec un poids convenable et de s’assurer de la sécurité à bord, la matière composant la pile étant hautement inflammable. «Le challenge est de trouver quelqu’un pouvant se permettre de ne pas être regardant sur le business model, parce que je ne pense pas que cela puisse fonctionner sur un plan économique. Peut-être Sergey Brin peut-il être cet homme», a confié Dr. Josef Kallo du German Aerospace Center à nos confrères de Techcrunch.
La marque de maquillage Maybelline multiplie les possibilités d’essai virtuel de fond de teint
La marque Maybelline New York, propriété du groupe L’Oréal, propose l’essai virtuel de fond de teint grâce à la technologie de réalité augmentée de Snapchat. Que l’on soit dans sa salle de bain ou en magasin, un filtre – une Face Lens -, créé spécialement pour le produit Instant Anti Âge L’Effaceur, commercialisé en France depuis 2020, donne la possibilité à son utilisatrice de trouver la teinte se rapprochant le plus de sa carnation, son sous-ton, quel que soit l’effet désiré. Une expérience multicanal Cette expérience sera mise en avant sur tous les canaux digitaux de Snap, sur l’Amazon store, ainsi qu’en offline avec une première phase de test chez le magasin Monoprix Concept Store du quartier Montparnasse à Paris. « L’accessibilité de nos offres passe par la digitalisation de nos services » explique Laurent Mathias, Directeur Général France Maybelline New York. « Nous proposons ainsi des expériences de maquillage virtuel à nos consommateurs via notre propre outil de réalité augmentée sur Maybelline.fr, mais aussi via les fonctionnalités de ‘Try On’ déployées par Snapchat » ajoute-t-il. Maybelline a lancé 5 filtres Snapchat, dont un 1er filtre sur le teint en 2020, mettant en avant le côté multi usages de l’anticernes Instant Anti-Age l’Effaceur. « Suite au succès rencontré, nous avons voulu aller plus loin avec Snapchat, en développant un nouveau filtre d’aide au choix de teintes. C’est une prouesse technique qui nous permet d’accompagner au mieux nos consommateurs » termine le DG.
Volvo ne vendra plus que des voitures électriques et ce sera uniquement sur internet
Le constructeur automobile Volvo annonce qu’il va changer fondamentalement la manière de vendre ses véhicules et de rencontrer ses clients. Il basculera entièrement sur internet à horizon 2030. Une nouvelle gamme électrique vendue uniquement sur internet Le constructeur suédois vise à ne fabriquer que des voitures entièrement électriques d’ici 2030 et va lancer une nouvelle famille de voitures électriques dans les années à venir qui seront uniquement disponibles en ligne.
Cet hiver, la fréquentation des stations de ski sera inférieure à 25%
La fermeture des remontées mécaniques en raison du Covid-19 a entraîné une « chute libre » de l’activité, s’alarme dans un communiqué l’Association nationale des maires de stations de montagne (ANMSM). Sur les quatre semaines des vacances d’hiver, le taux d’occupation moyen des stations de ski atteint 33% (-47,8 points vs 2020), selon les chiffres du cabinet G2A, qui collecte des données de nombreux hébergeurs. Les domaines situés en altitude, plutôt plus importants, observent un taux d’occupation de 26% sur les vacances de février se terminant dimanche, en baisse de près de 60%. La quasi absence de clientèle internationale explique en partie cette forte diminution. Les stations de basse altitude s’en sortent mieux, avec un recul limité à 40% par rapport à 2020. 22,5% de taux d’occupation prévisionnel Sur l’ensemble de la saison 2020-2021, le taux d’occupation prévisionnel s’élève à 22,5%. Soit -43 points par rapport à la saison précédente, qui avait été déjà amputée sur sa fin, en mars 2020. « L’enneigement exceptionnel de cette saison a contribué à la venue des vacanciers français en station, souligne Jean-Luc Boch, président de l’ANMSM. Ce qui ne doit pas masquer la réalité de la situation, à savoir une fréquentation divisée par 3 ou 4 par rapport à l’année précédente, et un chiffre d’affaires réduit à 10%. A la fin de la saison nous n’aurons pas les recettes du ski alpin. » Les activités annexes (raquettes, luge, ski de randonnée…) rapportent nettement moins sur le plan économique. « Les aides promises par le gouvernement ne sont toujours pas arrivées et certaines stations sont aujourd’hui en très grande difficulté », poursuit Jean-Luc Boch. En temps normal, la filière de la montagne représente 11 milliards d’euros sur l’année, d’après l’association.
Les trois leçons de Danone
Ce n'est pas parce qu'une crise n'est pas totalement terminée qu'on ne peut pas en tirer de premières leçons. A la mi-temps d'une bataille dont l'issue reste incertaine , l'on doit ainsi déjà reconnaître que les secousses qui affectent aujourd'hui Danone sont susceptibles de laisser des traces allant au-delà du simple cas de ce champion français du yaourt, des petits pots pour bébé et de l'eau en bouteille. La première leçon de cette crise est que les fonds activistes souvent accusés de tous les maux par un capitalisme douillet savent parfois appuyer à juste titre là où cela fait mal . On peut certes les accuser de tout critiquer bien qu'ils ne contrôlent qu'une fraction du capital et on ne voit pas au nom de quoi ils pourraient avec juste quelques actions dicter leur loi. Mais ils ont incontestablement le mérite de mettre sur la place publique des débats qui trop souvent ne sont pas tranchés derrière les portes closes de conseils d'administration trop prudents ou consanguins. Dictature ou démocratie La deuxième est qu'un patron, aussi brillant ou visionnaire soit-il, ne doit jamais gouverner seul. Quelle que soit la forme de gouvernance (conseil d'administration ou de surveillance, PDG ou présidence et direction dissociées), il est crucial que ceux qui dirigent soient face à des contre-pouvoirs. Qu'il s'agisse d'administrateurs ou de cadres dirigeants. Car il est indispensable que l'entreprise soit aussi un lieu de débats stratégiques. Une société n'est ni une démocratie dans laquelle toute décision se prend en consultant tout le monde ni une dictature éclairée sans forces de rappel. Salomon La troisième leçon est qu'il est souvent risqué de couper la poire en deux. En refusant de céder à toutes les injonctions des fonds sans pour autant conforter totalement Emmanuel Faber, les administrateurs de Danone jouent avec le feu. Décider de trancher dans le vif contre un PDG affaibli ou renvoyer totalement dans leur but des activistes n'avait sans doute rien d'évident. Mais un jugement à la Salomon pourrait déboucher sur une forme de pourrissement de la situation. Les administrateurs ont jugé que ce risque était pour l'instant moins élevé que le tremblement de terre qu'aurait provoqué une décision radicale. Mais il vaut parfois mieux une crise dure et courte qu'une crise sourde et qui dure. Le conseil de Danone a tranché mais il y a de fortes chances que les fonds continuent de s'agiter et les ailes d'Emmanuel Faber vont être en partie rognées, même s'il n'a pas renoncé à se battre… pour son bien, celui de Danone mais peut-être aussi demain contre un bras droit qui lui aura été en partie imposé ou un Conseil qui l'aura placé en liberté surveillée.
Orange cherche un repreneur pour sa banque
C'est peut-être déjà la fin de l'aventure d'Orange dans la banque. Un peu plus de trois ans après le lancement en grande pompe d'Orange Bank, l'opérateur télécoms serait prêt à en abandonner le contrôle. « Nous n'avons pas monté ce projet pour devenir banquier, mais pour mesurer notre capacité d'innovation », a déclaré Stéphane Richard dans « Le Canard enchaîné », qui a révélé l'information mardi. A l'origine, Orange cherchait un nouveau partenaire pour reprendre les 22 % du capital encore détenus par Groupama. C'est l'assureur qui avait cédé à l'opérateur télécoms 65 % du capital de sa filiale Groupama Banque pour constituer la banque mobile. « Groupama n'est pas dans un processus de cession à ce stade », indique-t-on dans l'entourage du groupe. La banque d'affaires Barclays mandatée Mais l'opérateur télécoms serait prêt à céder aussi une partie du capital qu'il détient afin de trouver un bon repreneur. Selon nos informations, il aurait mandaté la banque d'affaires Barclays dans cette optique. Alors que le processus démarre, des manifestations d'intérêt émanant de banques françaises, telles que BNP Paribas, Crédit Agricole ou encore Société Générale et l'espagnol Santander seraient évoquées. Interrogées, aucune des banques n'a réagi dans l'immédiat. Comme le montrent les difficultés que rencontre HSBC avec sa filiale française, céder une banque en ce moment est toutefois compliqué. Des acteurs financiers du digital pourraient aussi être intéressés. « Orange a entamé une réflexion pour trouver un nouveau partenaire et continuer ainsi à développer Orange Bank, indique une source bien informée. Le groupe n'en est pas au stade de la répartition du capital d'Orange Bank et est très fier du chemin parcouru en un peu plus de trois ans. »