HOSPITALITY LAB & PRACTICE FOR BRANDS

Blog2017-10-23T13:43:48+00:00

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

En imposant aux marques de privilégier l’intérêt de leurs clients dans la gestion des données qu’elles détiennent, l’Europe fait de l’hospitalité le vecteur principal de leur croissance.

1. AUJOURD’HUI, LA CROISSANCE DES MARQUES PASSE PAR LA QUALITÉ DE LEUR RELATION CLIENTS.

Dans un monde digital, « Les Marchés sont des Conversations ».

Dès 1999, Doc Searls et ses co-auteurs avaient mis cette idée au coeur de leur “Clue Train Manifesto” (Manifeste des Evidences) (1), démontrant alors avec brio comment le développement du “capital relationnel” de la marque pouvait devenir le principal moteur de la croissance des entreprises.

L’arrivée des sites internet dans la fin des années 1990 avait eu en effet le mérite de faire prendre conscience qu’il pouvait se nouer une relation directe entre l’entreprise et ses clients, sans passer par un distributeur ; et que ces nouveaux liens produisaient énormément de données qu’il était probablement intéressant d’exploiter : ainsi, pour développer plus loin l’idée du “Clue Train”, lorsqu’il s’agit de générer une croissance durable des ventes et des profits, les meilleurs atouts de la marque sont sa légitimité à susciter des échanges autour de son coeur de métier (Conversation), son intelligence à les analyser (Curation), sa capacité à apporter des réponses adaptées aux besoins exprimés (Customization), et finalement son empathie relationnelle, propre à mettre le client en résonance avec la marque (Communion). Autant d’atouts qui précèdent dorénavant la simple « qualité des produits » mis au catalogue, autrefois le principal fer de lance des entreprises.
Une vision depuis partagée par Interbrand(2), qui dans sa publication annuelle du classement de la valeur des marques insiste sur le fait que “la croissance est la conséquence d’une stratégie claire et d’expériences exceptionnelles délivrées au consommateur”.
Voici donc venu le temps pour les marques soucieuses de croissance durable de passer un nouveau contrat relationnel avec leurs consommateurs, où l’achat et la livraison du produit n’est plus la fin mais le début de la relation : un contrat qui couvre d’abord l’usage, et l’expérience qui l’accompagne. Un contrat qui est aussi l’occasion de proposer de nouveaux moments de consommation, de nouveaux services, qui sont autant de chiffre d’affaires supplémentaire pour les marques. Mais un contrat relationnel d’abord fondé sur le respect de l’intérêt du client, notamment en matière d’utilisation de ses données.

 

2. GDPR : UNE RÉGLEMENTATION POUR SAISIR DE NOUVELLES OPPORTUNITÉS DE CROISSANCE.

Selon une étude récente de la Commission Européenne(3), 72% des Européens s’inquiètent en effet de laisser trop de données personnelles aux entreprises, souvent à leur insu, et surtout de ne pas en recevoir de réelle contrepartie. D’ailleurs, la connaissance plus précise du client semble ne faciliter en rien la capacité de l’entreprise à mieux cibler ses offres : selon tous les indicateurs(4), le taux d’ouverture des mails diminue alors que les désabonnements (opt-out) augmentent, ce qui fragilise largement la rentabilité des investissements lourds consentis dans le CRM.
La Commission souligne également que le marché en ligne est constitué à 57% d’échanges avec des opérateurs américains, alors que seulement 4% des échanges se font au travers d’opérateurs pan-européens. Elle estime que si les 100 plus grosses entreprises Européennes faisaient un usage judicieux de leurs données clients, le PNB Européen pourrait s’octroyer 1,9% de progression supplémentaire d’ici 2020, soit plus de 200 Milliard d’Euros de gain potentiel.
C’est avant tout à cette opportunité de croissance que la GDPR s’attaque : permettre une meilleure utilisation des données pour les entreprises grâce à un consentement avéré des consommateurs, favoriser les échanges intra-européens au sein d’un univers mieux sécurisé. Loin d’être une contrainte, la GDPR est une chance de développement de nouvelles sources de revenus pour les marques européennes : elle conduit à un modèle de croissance durable rendu possible par une approche choisie et non plus subie de la consommation. Avec la GDPR, les marques doivent négocier avec chacun de leurs clients un contrat relationnel : elles doivent se mettre à l’écoute, comprendre les besoins, proposer leurs services, et définir les modalités de la relation ; le tout dans la transparence ( accès aux données, droit de modification) qui établit la confiance, l’attachement. Les marques deviennent alors attachantes dans le bon sens du terme, et c’est de cet attachement que nait la croissance durable.
C’est à ce nouveau modèle relationnel qu’appellait lui-même Doc Searls dans son “Clue Train Manifesto” : il lui avait même trouvé un nom, la VRM (Vendor Relationship Management). Une approche basée sur le consentement avéré du client vis à vis de ses fournisseurs (vendeurs) avec un postulat simple : “un consommateur libre a plus de valeur qu’un consommateur captif – pour lui-même, pour les marques et pour l’économie en général”.
Encore faut-il s’entendre sur la définition du consommateur “libre”. Searls le définit en cinq points :
1. Il entre en relation avec les marques de manière indépendante et sans contrainte.
2. Il est le point d’intégration de sa propre donnée (c’est lui seul qui peut relier sa donnée à sa personne).
3. Il a le contrôle de la donnée qu’il génère et collecte. Il décide de ce qu’il veut partager, à qui et comment.
4. Il définit son propre niveau d’engagement avec les marques.
5. Il est libre d’exprimer ses exigences et ses intentions en dehors du contrôle de toute entreprise.
C’est ce consommateur “libre” que la GDPR souhaite aujourd’hui promouvoir, afin d’en faire le vecteur de croissance de l’économie.

3. L’HOSPITALITE DES MARQUES, PRINCIPAL VECTEUR DE LEUR PROPRE CROISSANCE.

Accueillir un consommateur “libre” est sans doute une perspective qui effraie bon nombre de marques, tant elle ont été construites sur la notion d’un marketing manipulateur et insidieux, capable d’influencer jusqu’aux émotions pour enfermer les clients dans un tunnel de vente dont la seule issue est l’achat du produit. Avec la GDPR, ce n’est plus le produit qu’il va falloir vendre, c’est la marque qui doit apprendre à se faire acheter. Et pour cela, il va falloir qu’elle se montre hospitalière vis à vis de ses clients : bienveillante, humaine et proche.
Le produit devient simplement la porte d’entrée à la marque, celui qui va forger les impressions de la première rencontre, et donc le début (et non la fin) de l’histoire. Le produit n’est plus qu’un prétexte, c’est la marque qui devient le réel support de l’expérience pour le consommateur : c’est d’ailleurs à elle qu’il va naturellement s’adresser s’il a besoin d’assistance ou s’il a simplement des remarques à formuler. À la marque de se montrer engageante, accueillante, généreuse et humaine pour fidéliser le consommateur au-delà du premier produit, et pour entretenir une relation proche, intime, qui permettra de continuer à vendre sans qu’il soit besoin de déployer la coûteuse armada publicitaire du premier jour : avoir une stratégie à long terme d’entretien de la relation, plutôt que de s’épuiser dans des efforts permanents de recrutement.
Autant le “tunnel de vente” était indifférencié et anonyme, donc étranger à toute notion d’hospitalité, autant le “cycle de décision d’achat” est personnalisé et fait appel à la relation humaine : c’est de la capacité de la marque à accueillir que dépend la fidélisation du client, et encore plus, sa propension à devenir activement promoteur vis à vis de ses pairs. Pour le dire différemment, c’est du niveau d’hospitalité de la marque que va découler l’amplitude de la réalisation du cycle d’achat, et donc le montant de la valeur créée.
Autant le “tunnel de vente” s’envisageait dans un temps le plus court possible, avec l’espoir de limiter la durée d’exposition nécessaire pour déclencher l’achat afin de réduire les coûts, autant le “cycle de décision d’achat” s’inscrit dans la durée la plus longue possible afin de maximiser les revenus. En se plaçant dans une notion de permanence, on met forcément en exergue la qualité de l’hospitalité, seule capable de générer de la pérennité dans la relation.
Plus le consommateur progresse avec la marque, plus la marque fait preuve de « disponibilité » vis à vis des demandes du consommateur, plus se crée la confiance dans la relation, le consommateur récupérant de plus en plus de valeur d’usage en retour de sa relation avec la marque, la marque obtenant de plus en plus de “permissions” qui lui permettent d’aller encore plus loin dans son service du consommateur.
C’est bien là le cercle vertueux de l’hospitalité des marques : un marketing “on demand” (inbound marketing), un marketing de l’échange, de la confiance, de la permission, du partage de la valeur, où les clients sont aussi des hôtes ; un marketing qui se définit d’abord par rapport au client pour qu’il puisse adopter lui-même la marque, la faire sienne et en devenir à son tour le porte-parole…
Alors que la GDPR fait des marques le gibier de consommateurs devenus madrés, l’hospitalité est la meilleure réponse pour faire de ces mêmes marques les plus désirables des proies : avec bienveillance, humanité et intimité. Assurant ainsi la pérennité de leur croissance.

4. QUELLES APPROCHES POUR LES MARQUES FACE A LA GDPR ?

Ce serait peine perdue pour les marques que de se contenter de « mettre en conformité » leur bases de données tout en espérant garder les mêmes pratiques relationnelles. Car la GDPR est d’abord une invitation à renverser ses pratiques relationnelles pour faire montre d’hospitalité vis à vis de ses clients ; et c’est ce renversement d’attitude qui est lui même porteur de croissance pour les marques. Avec la GDPR, l’hospitalité ouvre pour les marques de nouvelles perspectives de croissance.
Une étude publiée en Mai dernier par le gouvernement Britannique4 s’était alarmée sur le fait que seulement 30% des grandes entreprises du pays avaient commencé à prendre les mesures nécessaires à la mise en conformité de leurs pratiques d’utilisation des données, alors que la transcription dans la loi Britannique vient d’être réalisée en ce mois d’Août, et qu’elle survivra au Brexit. Les autres pays feront-ils preuve de la même insouciance, par rapport à une échéance qui dans la plupart des pays européens, a été fixée à Mai 2018 ?
La GDPR transforme radicalement la manière dont les entreprises utilisent les données. Il va falloir arrêter d’acheter des listes d’adresses, et même se débarasser des listes qu’on aura pu acheter auparavant. Contacter un client exigera d’avoir les permissions nécessaires, sauf à s’exposer à des amendes prévues pour atteindre jusqu’à 4% du chiffre d’affaires.
Il n’y aura donc pas d’échappatoires.
Mais n’est-ce pas justement l’opportunité d’une prise de conscience salutaire dans le futur de la relation client ? Quelle marque aujourd’hui a encore besoin d’avoir accès à des millions de noms dont simplement un infime pourcentage montre un intérêt pour ses propositions ? Ne vaudrait-il pas mieux établir une véritable relation avec moins de clients mais qui ont un véritabe intérêt à avoir un dialogue, un échange, une conversation avec la marque ?
N’est-il pas temps, tout simplement, que les marques apprennent à devenir hospitalières vis à vis de leurs clients ?
Et si la GDPR n’était qu’un manifeste pour l’hospitalité des marques ? Une manière de sauver les marques traditionnelles à l’heure du digital ? La dernière opportunité à saisir avant liquidation ou reprise par les acteurs de la nouvelle économie ?
En développant leur hospitalité pour se mettre en conformité avec la GDPR, ce n’est pas tant l’amende que les marques vont éviter, c’est leur futur qu’elle vont assurer.
Aucune raison d’attendre. Embrassons la GDPR en développant l’hospitalité des marques (5).

 

 

(1) Le Cluetrain Manifesto (Manifeste des évidences) est un texte rédigé par Rick Levine, Christopher Locke, Doc Searls, et David Weinberger. Il est d’abord diffusé sur le web en 1999 comme un ensemble de quatre-vingt-quinze thèses, puis est publié sous forme de livre en 2000 avec les thèses prolongées de sept essais. https://www.amazon.com/Cluetrain-Manifesto-End-Business-Usual/dp/0738204315
(2) Etude 2016 Interbrand : http://interbrand.com/best-brands/best-global-brands/2016/
(3) Etude de la Commission Européenne : https://ec.europa.eu/commission/publications/why-we-need-digital-single-market_en
(4) Citée par Tanya Joseph dans le magazine Marketing Week (UK) du 7 Août 2017, New data laws are a chance to reset customer relationships : https://www.marketingweek.com/2017/08/07/tanya-joseph-data-law/
(5) Cf, “Manifeste pour l’Hospitalité des Marques”, Georges-Edouard DIAS, Edition Netexplo : https://www.amazon.fr/dp/2954667230/

Orange étend ses services bancaires aux professionnels en rachetant la néo-banque Anytime

By |January 8th, 2021|Categories: Scoop.it|

Orange Bank fait l’acquisition d’Anytime, une néo-banque créée en 2014 et dédiée aux besoins des professionnels, des PME et des associations. « C’est un segment de marché à forte valeur » se félicite Paul de Leusse, Directeur Général d’Orange Bank. Une offre centrée sur la délivrance d’outils pour simplifier la vie des professionnels Orange Bank veut ainsi se développer auprès de la clientèle des professionnels déjà servie par l’opérateur télécoms Orange. Anytime devient filiale à 100% d’Orange Bank et s’appuiera sur l’image de marque d’Orange auprès des clients TPE et PME pour accélérer son développement commercial. L’offre d’Anytime vise à simplifier la gestion financière des TPE et des PME. Une plateforme d’outils pour simplifier la vie des professionnels dans leur gestion La néo-banque propose des comptes professionnels, des solutions de paiement et de gestion des notes de frais pour faire gagner du temps. Sur sa plateforme, on trouve des solutions pour éditer des devis et des factures, mettre à jour automatiquement sa comptabilité, encaisser ses clients depuis un mobile ou par carte bancaire, gérer ses factures impayées ou optimiser sa trésorerie. Orange annonce que ces services seront enrichis pour créer une plateforme complète d’accompagnement des clients professionnels dans leurs démarches.

The key trends that will impact marketing in 2021 –

By |January 8th, 2021|Categories: Scoop.it|

Adopting a two-speed strategy It is key to take a two-speed approach to business strategy. Businesses still need to take a long-term view, to have a goal to aim for or a purpose to strive for. But within that long-term plan there must be room to allow for short-term disruptions and to adapt on the fly… READ MORE Selective innovation Rather that throwing every possible idea at the wall and seeing what sticks, innovation had already begun shifting towards a more thoughtful mode when the pandemic hit… READ MORE The value of value In a recessionary environment, brands and marketers need to show their worth. It will be all too easy to pull the price and promotion levers, paving the way for a sea of red as discounts pervade the high streets and the ecommerce world. That might work for some, but the best marketers will be thinking about what more their brands, products and services can offer consumers… READ MORE Refining agile frameworks Brands that have started to work with a more agile mindset during 2020 will need to think about how to bring that approach to life in the hybrid office environment, especially if they want to deal with the complexity of the new working world… READ MORE Embracing failure For too long failure has been considered the worst thing that can happen in business. This mentality is symptomatic of a working culture where new innovations, campaigns and services are the product of months, if not years, of planning. The stakes are so high that anything less than perfection is considered a serious problem… READ MORE Be personal, not personalised Just because you can do something doesn’t mean you should. It’s often said, but marketers should take particular note when it comes personalisation… READ MORE Bursting the bubble Concern there is a disconnect between some marketers and their customers has been growing for several years. The last twelve months has only exacerbated the sense there is a gap between how marketers believe customers behave and how they do… READ MORE And finally, a call to action – make apprenticeships a trend One of the great tragedies of 2020 is the number of people made redundant. Young people aged 16-24 are among the biggest group impacted, either losing their job or seeing opportunities dry up… READ MORE

Thieves pelt French police with Burgundy wine in motorway chase | France | The Guardian

By |January 7th, 2021|Categories: Scoop.it|

Thieves pelt French police with Burgundy wine in motorway chase Burglars made off with €350,000 of prestigious bottles from luxury hotel The thieves smashed open the door of the wine cellar before making off with hundreds of bottles of Burgundy wine. Photograph: Régis Duvignau/Reuters Kim Willsher in Paris Wed 6 Jan 2021 14.14 GMT 558 A gang of wine thieves turned to the closest thing at hand when they discovered French gendarmes in hot pursuit of their van. The burglars, who were making off with an estimated €350,000 (£317,000) worth of grands crus Burgundy wines, began hurling their loot at officers as they sped down the motorway at high speed. They finally abandoned their vehicle after smashing into a road toll barrier 22 miles (35km) north of the city of Lyon. The thieves had targeted the luxury Relais Château hotel, the Domaine de Rymska Saint-Jean-de-Trézy, 30km from Beaune, in Burgundy, and two hours drive from Paris, at 5.15am on Tuesday. They smashed open the door of the wine cellar before making off with hundreds of bottles of Burgundy wine. Advertisement The owner of the hotel, which is set in nearly 200 acres of rolling countryside surrounded by woods and fields, was reportedly woken by the fire alarm going off. He jumped in his car and succeeded in keeping up with the gang’s van as it sped through country lanes before joining the A6 Autoroute du Soleil motorway south towards Lyon, while calling for reinforcements. A patrol of gendarmes then joined the chase, but as they approached the van, the thieves began throwing bottles of wine at the pursuing vehicle. Investigators say nobody was hurt and the bottles, aimed at the windscreen of the gendarmes’ car, missed their target. An inquiry has now been opened and police say they are searching for at least three men. It was the second time the five-star hotel had been broken into in two days. Just 24 hours previously, thieves broke into the property and stole €200,000 worth of fine wines from the same cellar. That time, the alarm did not go off. Detectives are trying to establish if the two burglaries were organised by the same gang.

Bitcoin Price Touches the $37K Zone, Crypto Economy’s Market Cap Hits $1 Trillion | Market Updates

By |January 7th, 2021|Categories: Scoop.it|

The price of bitcoin smashed through the last all-time high again jumping above the $37k zone to $37,400 per coin. The crypto asset’s market valuation is around $689 billion at the time of publication, as it has seen $26 billion in trade volume worldwide. Moreover, the entire crypto-economy surpassed the $1 trillion mark on Wednesday evening (EST) as well. Bitcoin (BTC) has jumped over the $37k handle on Wednesday surpassing the cryptocurrency’s previous all-time high (ATH). At approximately 7:04 p.m. (EST), BTC touched an ATH of around $37,400 per unit. Bitcoin is up 8.5% during the last 24 hours, 27% during the last seven days, 91% for the month, and 235% for the 90-day span. BTC is also up more than 350% against the U.S. dollar for the last 12 months. At approximately 7:04 p.m. (EST), BTC touched an ATH of around $37,400 per unit. Currently, BTC is still riding above the $37k handle. Despite BTC’s price being so high, the Bitcoin dominance index is a tad lower. The metric shows bitcoin’s market dominance compared to all the other crypto assets in existence is around 68.5%, after riding high above 70% for a while. The Bitcoin network hashrate has also skyrocketed during the last 24 hours as miners are dedicating 162 exahash per second (EH/s) to the BTC network. There’s approximately 19 mining pools with hashrate pointed at the blockchain and F2pool leads the pack. The pools that follow F2pool include operations such as Huobi Pro, Binance Pool, Antpool, and Btc.com. The executive at the Bitcoin Depot, Brandon Mintz, told news.Bitcoin.com that BTC’s scarcity is driving demand. “The scarcity of BTC compared to the printability of dollars is likely to attract savvy individuals looking to diversify their assets in the event of a lapse in the traditional financial system,” Mintz said. “As the adoption rate of BTC increases and the supply remains constant, the value of BTC will only continue to rise.” Meanwhile, as BTC crossed a new ATH, digital assets like ETH, ADA, BCH, LINK, and XLM have all seen percentage gains between 8% to 70%. Ethereum’s market cap, which is hovering around $138 billion, is partly the reason BTC’s dominance has dropped a few percentages. Currently, the entire market cap of all 7,500+ crypto assets is approximately $1,000,395,709,742 according to exchange data.

Le pass Navigo devrait arriver en février sur votre iPhone

By |January 5th, 2021|Categories: Scoop.it|

Selon Le Parisien, l’achat et l’utilisation de titres de transport sur les smartphones Apple vont être enfin possibles en février. Les utilisateurs pourront embarquer leur Pass Navigo mais aussi acheter des tickets à l’unité, un forfait antipollution 1 jour et des billets OrlyBus et RoissyBus. Comment pourra-t-on acheter et valider un ticket de métro ? Comment sur Android, il suffira de télécharger l’application Vianavigo et de se laisser guider pour acheter son titre de transport ou son abonnement. Pour ce qui est de la validation sur les bornes, si vous possédez un iPhone récent (iPhone XR, XS, et XS Max, iPhone 11, 11 Pro et 11 Pro Max), vous n’aurez rien à faire. Pour ceux qui détiennent un iPhone plus ancien (iPhone X, 7 et 8) en iOS 14, il suffira de lancer le lecteur NFC Apple depuis le centre de contrôle. Une fonctionnalité proposée plus d’un an après Android L’achat et la validation de titres de transports sont proposées aux détenteurs de smartphones Android équipés NFC depuis septembre 2019. Lors d’un évènement presse, Valérie Pécresse, Présidente d’Ile-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, avait d’ailleurs fait une démo dans le métro. Elle déclarait à l’époque : « J’en appelle pour la énième fois à Apple de faire le nécessaire pour rendre le service disponible aux détenteurs d’iPhone en 2020, au risque que les franciliens se tournent vers les téléphones sous Android ».

Massive Exodus of Bitcoin Continues to Leave Exchanges, Over 87,900 BTC Withdrawn in 30 Days

By |January 4th, 2021|Categories: Scoop.it|

The data suggests that a lot more people are removing funds off of centralized exchanges in order to hold bitcoin in a noncustodial fashion. From this perspective, more people holding coins noncustodially is beneficial for the entire community by leaving fewer funds on exchanges that are susceptible to large bitcoin thefts. Another theory is that bitcoin whales have adopted a new strategy rather than dumping coins on the market and purchasing bitcoin off weak hands that panic sell. Bitcoin whales may be removing liquidity from exchanges and decimating any type of upper barrier.

Amazon se renforce dans les podcasts en rachetant Wondery

By |January 3rd, 2021|Categories: Scoop.it|

Fondé en 2016 par un ancien dirigeant de Fox, Wondery est la 6e plate-forme indépendante de podcasts aux Etats-Unis. En septembre, ses titres à succès ont été téléchargés ou écoutés près de 60 millions de fois, selon la firme d'analyse Podtract. En 2021, la start-up devrait générer 40 millions de dollars de chiffre d'affaires, dont 75 % issus de la publicité. Le reste de ses revenus est généré par la vente de licences à des acteurs majeurs tels que AT & T, Warner ou Disney, ainsi que ses propres abonnements payants, à 5 dollars par mois. Lors de sa dernière levée de fonds, en juin 2019, Wondery avait été valorisée 100 millions de dollars. Amazon affiche une santé insolente dopée par le coronavirus Cet éditeur de podcasts était surtout l'une des rares cibles encore disponibles sur le marché pour un géant de la tech tel qu'Amazon. En plus de la musique (Amazon Music) et des livres audio (via sa division Audible), le groupe de Jeff Bezos a commencé à proposer des podcasts depuis septembre, avec 70.000 titres. En mettant la main sur Wondery, Amazon va récupérer un catalogue très riche, allant des faits divers comme « Dr. Death » (scandales dans le milieu médical) aux sports, en passant par la politique, avec « Bunga Bunga » (sur Silvio Berlusconi) ou « Kamala : Next In Line » et le développement personnel. « Ensemble avec Wondery, nous espérons accélérer la croissance et l'évolution des podcasts, en apportant des créateurs, des présentateurs et des expériences immersives à davantage d'auditeurs à travers le monde, comme nous le faisons avec la musique, précise Amazon. Nous sommes dans un moment pivot qui va étendre l'offre d'Amazon au-delà de la musique au moment où les habitudes d'écoute changent. 1 milliard de dollars de dépenses publicitaires Ce rachat intervient alors que les podcasts deviennent une industrie à part entière dans le domaine du divertissement et de l'information. Selon l'Industrial Advertising Bureau, les dépenses publicitaires sur les podcasts devraient franchir pour la première fois en 2021 la barre du milliard de dollars.

Opinion | Le Covid nous offre la chance de sortir de notre prêt-à-penser

By |January 3rd, 2021|Categories: Scoop.it|

Rétraction des possibles Dès lors, n'est-ce pas à défaire ces coïncidences idéologiques qu'il faudrait d'abord s'attacher ? Dé-coïncider ne pourrait-il pas se constituer en politique ? Puisqu'il n'est plus guère possible de projeter sur le futur nos plans et nos prévisions, que les utopies sont fallacieuses et que dénoncer le présent ne suffit pas. Dé-coïncider, en défaisant la coïncidence installée, en fissurant ce qui colle d'adéquation, qui s'endort dans sa positivité, ne promet pas, il est vrai, d'« avenir qui fait rêver ». Mais rouvre, de fait, des possibles. Cela se vérifie dans les pratiques les plus diverses. Un artiste n'est artiste qu'autant qu'il dé-coïncide de l'art déjà fait et reconnu comme art : c'est par là qu'il rouvre de nouveaux possibles en art. De même, un penseur ne pense qu'autant qu'il dé-coïncide du déjà pensé ; et même dé-coïncide de ce que lui-même a déjà pensé. Pourquoi n'en irait-il pas ainsi en politique ? La France souffre non pas d'un 'déclin', mais d'une rétractation des possibles. La France souffre, en effet, non pas d'un « déclin », comme on le dit de façon fataliste, mais d'une rétraction des possibles qui se subit de jour en jour, sans qu'on s'en rende compte. Notre capacité et notre ambition s'étiolent, et l'on s'y résigne parce qu'on ne perçoit pas les formes d'obédience qui y conduisent. Aussi notre volonté politique n'est plus que velléité. C'est pourquoi il nous faut dé-coïncider de nos dogmes assimilés pour nous rouvrir un avenir. La France est installée, de fait, dans tant de coïncidences idéologiques qu'on n'interroge plus. Concernant par exemple le discrédit de ce qu'on appelle l'« élitisme » : comme si cette défiance contribuait à la démocratie… Ou notre façon de soupçonner, de contester et d'incriminer d'avance, ce qui détruit d'emblée la possibilité de la confiance. Ou la religion des vacances… C'est cela d'abord qui bloque notre capacité.

10-Year-Old Block Rewards Wake Up: Data Parsers Catch a String of 1,000 ‘Satoshi Era’ Bitcoins from 2010 Spent Today

By |January 3rd, 2021|Categories: Scoop.it|

At approximately 3:10 p.m. (EST) at block height 663,241 another 2010 block reward was spent, making it an aggregate total of 21 decade-old block rewards on December 27, 2020. Most strings of 2010 spent blocks this year have been precisely 21 consecutive blocks.** This year, the price of bitcoin (BTC) has increased a great deal in value and during the course of the year, decade old bitcoin mining rewards have woken up from slumber. In the cryptocurrency space, old coins that haven’t moved in over a decade are sometimes referred to as ‘Satoshi-era’ coins, ‘sleeping bitcoins,’ or ‘zombie coins.’ Estimates think that there are well over a million zombie coins that haven’t moved in over a decade. On December 18, 2020, onchain researchers from Glassnode tweeted that “1.78 million bitcoins have never left their miner address.” “That is 9.5% of the circulating bitcoin supply,” the onchain researchers said at the time. “Our analysis shows that 98% of those coins were mined more than 7 years ago, and 94% more than 10 years ago. Most could be lost forever,” the researchers added.

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