Monthly Archives: March 2022

NFTs Are Hot. So Is Their Effect on the Earth’s Climate | WIRED

For digital artists, the attraction of blockchain is a new model of ownership. Crypto art is no more secure from copycats than anything else posted on the internet; a person could easily record a video or screenshot an image and proudly display the replica on their desktop. But with an NFT, the owner buys a verified token providing digital evidence that the art is theirs—a bit like an artist’s signature. The idea is to offer some semblance of the authenticity that is naturally bestowed on physical art. After all, most people would say that a perfect copy of a Mondrian abstract painted on your garage door is not the same as the one created by the artist. Why couldn’t the same be true for a .CAS file? A bonus of the model is that ownership can be extended to resales of that token, allowing artists to continue receiving a cut. “We have to change our existing habits. So how can we build new platforms that are unsustainable?” MEMO AKTEN, TECHNOLOGY ARTIST The trade-off is that this model consumes lots of energy. The major marketplaces for NFT art, which include MakersPlace, Nifty Gateway, and SuperRare, conduct their sales through Ethereum, which maintains a secure record of cryptocurrency and NFT transactions through a process called mining. The system is similar to the one that verifies Bitcoin, involving a network of computers that use advanced cryptography to decide whether transactions are valid—and in doing so uses energy on the scale of a small country. How exactly that energy use translates to carbon emissions is a hotly contested subject. Some estimates suggest as much as 70 percent of mining operations may be powered by clean sources. But that number fluctuates seasonally, and in a global energy grid that mostly runs on fossil fuels, critics say energy use is energy use. Some mining hotspots popular because of cheap hydropower, such as Missoula, Montana, have banned new operations over concerns that even “clean” mining would push neighboring energy users to dirtier energy sources. Ethereum’s developers have planned a shift to a less carbon-intensive form of security, called proof-of-stake, via a blueprint called Ethereum 2.0. But this has been in the works for years, and there is no clear deadline for the switch. “If you look at how much energy we are going to spend in the meantime, it’s ridiculous,” says Fanny Lakoubay, a crypto art collector and adviser. Ethereum became the platform of choice for digital art sales because it was designed to handle digital transactions that go beyond cryptocurrency, using a system called smart contracts. And as the second-largest blockchain platform after Bitcoin, it was known to be fairly reliable, with an established community of developers. There are alternative blockchains, some of them already using proof-of-stake, but they are perceived as less established—and perhaps less permanent, Lakoubay explains. That makes them less appealing to art buyers who want their claims to very expensive things etched in digital stone. Until recently, the NFT art world hadn’t given energy use that much thought, Lakoubay says, because the community of artists and collectors was tiny. Digital art sales weren’t driving the computers that ran Ethereum; that was due to other things, like cryptocurrency speculation. Lakoubay has been happy to see the recent growing interest in crypto art. But it was also a little bit scary. “I’ve been advising collectors to not be too crazy right now,” she says. “It’s definitely not the art market that’s driving the prices.”

By |2022-03-31T13:13:09+00:00March 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Selon un rapport accablant, « seul 1% des entreprises présente un plan de transition énergétique crédible »

L’urgence climatique, la crise sanitaire et les considérations environnementales mettent plus que jamais le tissu entrepreneurial sous pression. Dans une société aux ressources énergétiques limitées, la bonne santé des activités économiques semble dépendre de plus en plus d’une gestion intelligente de ces dernières. Une situation qui a naturellement imposé l’environnement comme une dimension essentielle de performance et de pérennité des entreprises. Le ton est donné mais les actions restent à être menées. Il est temps de (re)mettre la transition énergétique au sommet de sa stratégie et d’en faire plus qu’un simple exercice de communication. Pour faire face aux profondes perturbations technologiques, politiques, économiques et sociales qui vont inévitablement se produire, les entreprises doivent acquérir une connaissance approfondie des questions énergétiques et climatiques qui s’appliquent à leurs propres modèles d’entreprise. Un effort gagnant gagnant. Pour le portefeuille et pour l’image de marque.   Un rapport au vitriol Dès lors, on pourrait penser que la machine est lancée. Mais au diable les belles promesses formulées lors, notamment, de la COP26 de novembre dernier, voir à l’occasion de lors de la signature des accords de Paris. Un nouveau rapport du CDP révèle que la majorité des entreprises demeurent timorées quant à leurs plans de transition énergétique. Intitulé « les entreprises sont elles transparentes au sujet de leur transition énergétique ? », cette étude dresse un classement des industries les plus impliquées en la matière. Elle formule également des scores environnementaux très scrutés par les gestionnaires d’actifs et d’autres investisseurs qui l’utilisent pour « verdir » leurs portefeuilles.

By |2022-03-30T09:27:44+00:00March 30th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Ces traders qui font fortune sur les NFT

Le marché des NFT, ces actifs uniques dont la propriété et la traçabilité sont assurées par une blockchain, est un véritable bestiaire numérique, où les investisseurs achètent des singes , des canards, des chats , des pingouins, ou encore des chauves-souris - tous virtuels. Chaque crypto collection est déclinée en plusieurs milliers de personnages dont les caractéristiques (couleur, forme, habits…) varient de manière aléatoire. Ce sont ces collections qui concentrent l'essentiel des volumes des NFT et des profits pour les traders les plus habiles. Ils parviennent à identifier quels seront les actifs les plus rentables, comme leurs homologues des marchés traditionnels le font sur les actions. Une minorité y parvient, et empoche des sommes considérables à la clé. Sur OpenSea, la principale plateforme de NFT, 12.000 investisseurs-traders expérimentés (3,6 % des intervenants) se sont approprié près de 600 millions de dollars de profits en seulement six mois l'an dernier, selon une étude (1). Ils ont empoché la moitié des bénéfices réalisés. Parmi les investisseurs à succès emblématiques sur les NFT figurent des anciens sportifs comme Jake Paul, ancien boxeur et collectionneur passionné, des stars des réseaux sociaux comme les youtubeurs Richard Bengston ou Scotty Sire, d'anciens financiers comme Jordan Belfort, le loup de Wall Street, et des personnalités du monde des cryptos comme le trader Michael Novogratz. Son nouveau fonds, spécialisé sur les NFT, a levé 325 millions de dollars. 9 % des investisseurs institutionnels clients de Goldman Sachs interrogés en mars ont manifesté leur intérêt pour cette nouvelle classe d'actifs du secteur des cryptos.

By |2022-03-28T16:48:01+00:00March 28th, 2022|Scoop.it|0 Comments

StackinSat lance un plan épargne bitcoin pour les entreprises

PARTAGER SIGNALER UNE ERREUR ENREGISTRER PDF / EXPORTER « Le bitcoin est l’un des rares actifs déflationnistes, puisqu’il n’y en aura jamais plus de 21 millions » . « C’est une réserve de valeur » .  Il suffit de parler quelques minutes avec Jonathan Herscovici, cofondateur de StackinSat, pour comprendre que l’entrepreneur est convaincu du futur florissant offert par le bitcoin. Et pourquoi il a concentré les efforts du courtier français sur cette cyrptomonnaie et pas une autre. Et enfin pourquoi il se démène pour vulgariser l’écosystème autour du bitcoin à l’image de l’événement Surfin’ Bitcoin à Biarritz les 25-26 et 27 août prochains. Lancée en octobre 2020, StackinSat propose un Plan Épargne Bitcoin, un service permettant d’acheter progressivement des sastochis, des fragments de bitcoins, à intervalles réguliers, à la semaine ou au mois, à partir de 10 euros. 11 000 utilisateurs particuliers – plutôt autour de 40 ans – ont franchi le pas. Ils placeraient en moyenne près de 2800 euros par an – moitié en achats récurrents, l’autre en dépenses ponctuelles. Un placement pour amoindrir les effets de l’inflation ? Désormais ce sont les entreprises qui sont ciblées. Les produits de placement de trésorerie d’entreprise en France sont rares et surtout peu performants (en moyenne 0,5% / an). StackinSat a donc décidé de préempter ce marché avec le bitcoin. Et on ne plus simplement : en dupliquant son modèle originel mais en l’orientant vers les entreprises. Ce plan épargne bitcoin est baptisé PEB Pro. Ce placement financier est accessible avec un versement initial d’un minimum de 1000 euros. Mais quel intérêt les entreprises auraient-elles à passer à l’acte ? « Toutes les entreprises ont de la trésorerie dormante, qu’elles ont accumulé avec la crise sanitaire, qui peut représenter entre 5 et 10% de la trésorerie totale. On leur propose d’allouer une partie de cette trésorerie, qui ne servira pas à court terme pour l’exploitation, dans une épargne innovante » , assure Jonathan Herscovici. Le dirigeant mise sur la conjoncture et l’inflation galopante pour faire valoir le bien-fondé de sa solution. L’invasion Russe en Ukraine a provoqué en 4 semaines une très forte augmentation des prix de l’énergie et des matières premières. L’inflation a battu des records historiques en zone Euro avec plus 6% en février, soit son plus haut niveau depuis 25 ans, selon Eurostat. « Si vous aviez 100 000 euros de trésorerie en 2017, avec l’inflation passée, selon les calculs de INSEE, l’impact sur la trésorerie est une perte de pouvoir d’achat de 6% aujourd’hui en 2022. Si on simule une inflation de 5% sur les 5 prochaines années, on arriverait à une baisse de 27% soit une perte de pouvoir d’achat de près 30 000 euros en 2027 » , prend-il comme exemple. Selon lui, le bitcoin, avec des versements réguliers échelonnés, prend alors tout son intérêt en tant que valeur refuge d’épargne. Pour convaincre les sceptiques, StackinSat a développé un simulateur d’inflation qui permet de visualiser la baisse du pouvoir d’achat dans le futur.

By |2022-03-28T07:44:15+00:00March 28th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Volvo: Car brands must acknowledge they are ‘part of the problem’ on climate change

“Car manufacturers, including Volvo Cars, have been fuelling the crisis for a century,” one tweet from the Volvo account read. Volvo aims to be all-electric by 2030 and carbon neutral by 2040, and to reach these goals Volvo will need petrol-accustomed consumers’ support. Melillo Shaw said Volvo considers it to be its responsibility to educate consumers on the topic. Volvo eyes DTC promise as electric sales grow Volvo works to ensure consumers feel comfortable about “the change that is inevitably coming” on the shift to electric vehicles, she said. The company’s principle about transparency extends to how it sells its electric cars. “Understanding the total cost of ownership has been a key focus for us so that people, as they’re making that decision, understand it is a different model, it is a different way of owning a car and running a car,” she explained. Transparency in communicating on issues of sustainability is important internally as well as externally, Pilgrim’s Food Masters innovation and sustainability director, Dawn Spencer, added. Spencer said the food manufacturing company, which includes brands like Richmonds and Fridge Raiders, has weaved the principle of sustainability through its entire business. Pilgrim’s has a team set up to deliver its corporate strategic agenda around sustainability, as well as cross-functional teams that can put resources wherever they are needed across the whole business. A driving force behind the creation of this team structure was the need for effective communication, Spencer said. As well as internal stakeholders and shareholders, Pilgrim’s must communicate its sustainability goals to retailers too. Pilgrim’s has been sharing success stories to bring along stakeholders on the issue of sustainability. Spencer acknowledged that sustainability discussions can become complex, but the company takes care to share its success stories in a “really digestible and really easy to understand” way. For Volvo’s Melillo Shaw, what works internally is a good sign for what works externally. If you can’t convince internal stakeholders, you probably can’t convince the general public. ‘No finish line for sustainability’ The journey to tackle the climate crisis is something of a “marathon”, said Pilgrim’s Spencer. “There’s probably no finish line for sustainability.” Agreeing, Melillo Shaw said for individuals within the business, sustainability targets of 2030 and 2040 can feel a long time away. It’s important to identify more tangible steps for employees to take to make them feel like they’re part of the company’s long-term goals on sustainability, she added. One example was an idea that came from within the team to replace some paper documents with an app. While this is a relatively small step, it’s one that means those within the business can have a tangible role in the company’s sustainability goals. Action on sustainability and driving profit are not always seen as compatible goals. But Spencer argued there are business case wins. Sometimes brands need to focus on smaller wins as well.

By |2022-03-28T07:41:27+00:00March 28th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Crypto Goes to War in Ukraine | WIRED

“I can do only two things in my life—crypto and aviation,” he says. He chose the former, determining that the best way to serve his country was to supply it with funds via digital currencies. Not long after the invasion, he set up a DAO. That’s a decentralized autonomous organization, an entity whose trustworthiness can be verified by the reliable blockchain ledger. Vasylchuk partnered with the Ministry of Digital Transformation of Ukraine and a currency exchange called FTX to set up a system for the government to accept crypto currency directly from donors. So far the fund has taken in more than $65 million, which has been distributed between the country’s defense efforts and humanitarian aid. The effort is one of several using blockchain-based technologies to help Ukraine and its people during these nightmare weeks. Some have even dubbed this conflict the Crypto War. It’s unlikely that those who have lost homes or loved ones would agree that crypto is the headline here. But the chaos of war often gives rise to alternative economies; in this case it’s not so much a black market (such as the one that helped rebuild the Japanese economy post–World War II), but one that rests on the unique virtues of crypto. Apparently Ukrainian president Volodymyr Zelensky recognizes this, as just this month he signed legislation that blessed key activities in the crypto sector, like currency exchanges and bank integration for crypto companies. While the spoils of crypto are often enjoyed by privileged investors eyeing Lambos, the technology seems almost custom-made to surmount the challenges of a beleaguered Ukraine. “A bitcoin transaction takes 10, 20, 30 minutes versus a wire transfer that might take two or three days, and you can’t be sure of that—by then [the Russians] might have bombed a national bank,” says Illia Polosukhin, a cofounder of the blockchain company Near. Polosukhin is also one of the instigators of a DAO called Unchain, which has so far taken in $7 million for aid. In addition, these crypto funds accept donations anonymously, which is particularly advantageous for any potential givers with ties to Russia, whose leader is known to hold grudges. Finally, the idea of using crypto in this way is just plain attractive to those sitting on huge piles of bitcoin, ether, or other coins with insanely high values. But maybe the most significant aspect of wartime crypto in Ukraine is how private currencies are nudging their way into everyday commerce. Because the banking system is shaky in Ukraine, some suppliers receiving coins aren’t interested in making the exchange from cryptocurrency into fiat. “It’s not clear what the exchange rate will be between US dollars and hryvnia [the national currency], and so having coins in crypto is beneficial,” says Polosukhin. Crypto might be particularly precious for those fleeing the country, who don’t want to travel with cash, or simply can’t get it from their bank accounts. For people remaining in the country, Polusukhn says, Unchain is working on the equivalent of a crypto ATM card, where people can buy supplies using their digital wallets. Both Vasylchuk and Polosukhin, who is currently running his company from Lisbon, think that crypto will be essential in restoring their battered homeland. “We need to stop the war and rebuild this country,” says Polusukhn. “The crypto world will play a huge part in that—there are no banks in some places anymore!” The cryptocurrency movement to date has been plagued by the blatant greed of many of its adherents, with looney fluctuations in value discouraging its acceptance as a legitimate alternative to traditional economic tools. Even Ethereum inventor Vitalik Buterin is troubled by this. “The peril is you have these $3 million monkeys, and it becomes a different kind of gambling,” he told Time magazine. But behind the devastation of the Russian invasion, there’s evidence of how blockchain-based alternatives might justify some of the exhausting hype. Some investors are already celebrating this: In a recent letter to shareholders, Larry Fink, the CEO of the BlackRock hedge fund, touted the war’s “potential impact on accelerating digital currencies.” Vasylchuk sees the crisis not as a turning point but an acceleration of the inevitable. “Crypto was not underground before,” he says. “We just lost the restrictions.” Before we celebrate the future, though, let’s hope for peace in Ukraine—a respite that, all too sadly, bitcoin can’t buy.

By |2022-03-27T21:15:59+00:00March 27th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Remise de 15 centimes à la pompe : une mesure qui profite d’abord aux riches

Mais les automobilistes qui vont profiter davantage de cette remise de 15 centimes sont ceux qui consomment le plus de carburant. Or, plus on est aisé, plus on a de voitures et plus l’on roule avec. Selon les données de l’Insee, les 20 % les plus riches dépensent en moyenne environ 1 400 euros par an en carburants contre 700 euros pour le cinquième le plus pauvre de la population. L’effort financier consenti par l’exécutif ira donc majoritairement aux ménages aisés, c’est ce que les statisticiens appellent une mesure « anti-redistributive ». Les riches achètent deux fois plus de carburant que les pauvres Dépenses annuelles en carburant pour le transport par déciles de revenus, en euros, et part dans le revenu disponible, en % Lecture : Pour le 1er décile, à savoir les 10 % les plus pauvres, les dépenses en carburant pour les transports représentent 628 euros, soit 5,43 % de leur revenu disponible. Source : Insee Facebook Twitter Embed Absence de ciblage Et ce n’est malheureusement pas son seul défaut. Alors que la crise actuelle rappelle l’urgence de réduire la demande en pétrole, cette mesure n’incite pas à s’en séparer. L’or noir représente toujours plus de 40 % de la consommation finale d’énergie en France, dont la quasi-totalité est importée. Ce sont donc les puissances exportatrices qui en profitent. Quand le prix du baril progresse, l’économie française se retrouve étranglée, car ce qui est dépensé en carburant ne l’est pas pour autre chose. Une dépendance toujours forte au pétrole Répartition de la consommation finale d'énergie en France, en 2019 Source : SDES Facebook Twitter Embed Nous payons aujourd’hui le peu d’actions des gouvernements successifs pour réduire cette dépendance. Comme le rappelait l’économiste Aurélien Bigo l’automne dernier : « Les mécanismes de la politique de transition énergétique se jouent sur du moyen-long terme, à plusieurs années ou décennies, mais cela fait des années qu’on n’agit que très faiblement sur les différents leviers de transition. Si lors des précédentes hausses des prix des carburants, comme les chocs pétroliers, la crise de 2008 ou le mouvement des gilets jaunes, les pouvoirs publics s’étaient dit qu’il est problématique de dépendre à ce point du pétrole pour les déplacements et avaient agi en ce sens, la dépendance serait moins importante aujourd’hui. » Anti-redistributive, nocive à terme pour l’économie française, et dangereuse pour le climat… la remise de 15 centimes à la pompe a tous les défauts macro-économiques. Reste à espérer que les décisions prises après les élections tiendront davantage compte du temps long. 1.

By |2022-03-27T21:11:22+00:00March 27th, 2022|Scoop.it|0 Comments

L’enseigne Le Printemps fait gagner des NFT pour l’ouverture de son magasin virtuel

Le Printemps propose une expérience virtuelle à ses clients avec un tirage au sort hebdomadaire qui permettra de remporter un NFT, contenant une œuvre d’art digitale exclusive, réalisée à l’occasion du lancement de son nouveau virtual store. A l’issue des six semaines, un gagnant ultime sera tiré au sort pour remporter l’œuvre d’art, sous sa forme physique. Le magasin virtuel permet de découvrir les produits dans un univers 3D très lumineux. En cliquant sur le produit, on accède à sa fiche et on peut l’acheter en ligne. Les gagnants peuvent stocker leur NFT dans le portefeuille virtuel délivré par Arianee pour le Primtemps Cette opération est réalisée avec la plateforme technologique Arianee, utilisant la blockchain. Pour l’occasion, 30 NFTs ont été créés depuis la plateforme. Chaque NFT contient une œuvre digitale animée unique. Le NFT est accessible à partir d’un simple lien, dans l’email envoyé aux gagnants par le Printemps. Le portefeuille virtuel (wallet) d’Arianee donne aux gagnants la possibilité de stocker leur NFT en sécurité depuis un espace pensé avec le Printemps. Le projet a été intégré par l’agence digitale mobile UserAdgents. Arianee a notamment déjà collaboré avec Paris Fashion Week ou plus récemment avec la marque horlogère italienne Panerai du groupe de luxe Richemont. Arianee s’est reconverti dans le NFT plutôt que sur l’authentification de produits de luxe à la suite de l’arrivée de la blockchain Aura lancée par les groupes de luxe LVMH, Prada et Cartier, filiale du groupe Richemont.

By |2022-03-26T15:33:23+00:00March 26th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Le plan de réduction des pesticides en France est sur de mauvais rails

Un plan « qui ne peut pas réussir » et dont « la poursuite en l'état pose la question de la crédibilité de l'action publique ». Quatorze ans après son lancement, le programme Ecophyto de réduction des pesticides fait une nouvelle fois l'objet d' un rapport à charge . Celui que viennent de rendre public, mercredi, l'Inspection générale des finances, le Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAEER) et le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD). Ces trois autorités avaient été missionnées par le gouvernement en juillet 2020 pour évaluer la valeur ajoutée apportée par ce programme et ses financements. Un dispositif dont l'enveloppe de 81 millions d'euros en 2019 est à rapprocher des 643 millions d'euros mobilisés par d'autres acteurs - Europe, agences de bassin, régions, etc. - pour modifier les pratiques culturales des exploitants (conversion au bio, mesures agro-environnementales, etc.). Ecophyto, Ecophyto 2, Ecophyto 2 +... Cette précision étant faite, les auteurs du rapport déplorent qu'en dépit des dispositifs d'accompagnement propres à Ecophyto (fermes Dephy, fermes « 30.000 ») pour réduire la consommation de pesticides des agriculteurs, le compte n'y soit toujours pas. Malgré le plan Ecophyto sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, puis un deuxième sous celui de François Hollande et un troisième en 2018, « la réduction quantitative de l'usage des PPP [produits phytopharmaceutiques] se fait attendre », rappellent-ils. Le report de 2018 à 2025 de l'objectif d'une division par deux de cet usage n'y a rien fait. La France « ne rejoint pas la trajectoire » qu'elle s'est fixée, laquelle devait passer par une baisse de 25 % en 2020. Les quantités de pesticides vendues ont au contraire augmenté : de 34 % pour les fongicides sur la période 2016-2018 par rapport à 2009-2011, de 25 % pour les herbicides ou encore de 6 % pour les insecticides. Défauts de fabrication Une dérive mise au compte de certains défaut de fabrication d'Ecophyto. Le fait de raisonner en doses plutôt qu'en quantité brute pour mesurer les substances actives est plus pertinent. Mais cette méthode n'est pas parfaite. Le calcul donne un résultat « disponible uniquement au niveau national » et « ne permet donc pas un pilotage aux différentes échelles (régions, exploitations) », pointe le rapport. Les services de l'Etat ne veillent pas suffisamment au grain quant à l'usage des PPP. « On ne peut que constater le caractère faiblement dissuasif du nombre et des suites données aux contrôles », déplore le rapport. La gouvernance d'Ecophyto, sous la triple tutelle des ministères de l'Agriculture, de la Transition écologique et de la Santé, « est incomplète et manque de visibilité ». Enfin, il manque « un réel chef de projet » pour piloter à l'échelle d'une année l'application d'Ecophyto. Une réduction de la consommation des PPP n'en demeure pas moins possible. Pour remettre la France dans les clous, le rapport préconise de « définir une nouvelle trajectoire à dix ans de réduction des PPP cohérente avec la nouvelle politique agricole commune ». Celle-ci démarrant en 2023, il ne reste même plus un an pour s'y mettre.

By |2022-03-26T15:32:06+00:00March 26th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Comment le secteur de l’hôtellerie peut-il tirer profit des NFT ? –

Selon Hotel Mogel, le marché de l’hospitality pourrait facilement tirer profit de l’explosion des NFT. Après avoir conquis le marché de l’art, les « jetons non fongibles » permettraient aux hôteliers de créer des expériences uniques pour les clients. Pour rappel, chaque NFT détient un accès unique, une sorte de numéro d’immatriculation, et une valeur calculée sur la base de crypto-monnaie. Le premier cas d’usage pour les hôteliers concernerait l’expérience augmentée. Grâce aux NFT, le professionnel proposerait à ses clients des offres exclusives où ces derniers pourraient avoir accès à des avantages spéciaux après un séjour dans l’établissement. « La nature exacte de ces avantages dépend de la marque, mais il peut s’agir d’un accès à une communauté en ligne réservée aux membres, d’un accès à des salons privés dans le monde réel, d’un surclassement gratuit de chambres, de navettes d’aéroport gratuites pour tous les futurs séjours dans n’importe quel endroit ou un accès anticipé aux futurs lancements de produits » étaye Hotel Mogel. Ces avantages pourraient donc être virtuels comme réels. Mais pourquoi miser sur la blockchain ou les NFT quand un logiciel de suivi des programmes de fidélité ou que le profil d’un invité pourrait suffire ? Selon le cabinet de consulting, l’intérêt se trouve dans les places de marché. En effet, l’avantage du NFT est qu’il donne au propriétaire la possibilité d’acheter ou de revendre au plus offrant cet accès privilégié. Cette « vente aux enchères » créer de la valeur et peut permettre de fidéliser ou séduire un nouveau type de clientèle à la recherche d’expériences exclusives et ponctuelles. De même, la production de « jumeau numérique » consiste à reproduire en ligne une réplique identique à quelque chose qui existe déjà. A l’heure où le metavers transforme notre rapport à la réalité virtuelle, les NFT permettraient aux hôteliers d’introduire les crypto-monnaies comme moyen d’échange ou de paiement et le concept de propriété numérique pour des séjours. Ils permettraient ainsi d’obtenir des biens virtuels, un accès à des évènements virtuels, etc. Enfin, les NFT pourraient servir à mettre en place des programmes spéciaux à l’intention de personnes fortunées. Exemple : contre un million de dollars, le client aura accès à n’importe quelle chambre ou suite durant ses séjours au sein des hôtels du même groupe et ce pour une durée illimitée. Le e-contrat permettrait, entre autre, de délivrer des Pass exclusifs à partir d’un certain montant et ainsi réinvestir ces fonds dans les hôtels et en améliorer les services.

By |2022-03-26T15:17:44+00:00March 26th, 2022|Scoop.it|0 Comments