Notre étude a repéré parmi les entreprises trois modèles de management différenciés qui constituent des modalités différentes d’articulations entre l’individuel et le collectif. Le modèle « business as usual » est celui où la société a adapté certains processus au télétravail et à la flexibilité. Le modèle « équilibriste » opérant sur des projets moins fédérateurs peine, quant à lui, à concilier les attentes individuelles et le collectif. Le modèle « people first » se démarque, pour sa part, par son agilité et sa capacité à adapter son fonctionnement voire sa stratégie aux compétences et aux attentes des collaborateurs. Choisir le bon modèle est primordial de nos jours car 6 actifs sur 10 envisagent de quitter leur entreprise si jamais une opportunité se présente. Cette proportion est particulièrement élevée chez les moins de 35 ans, les salariés du privé et les employés des PME. Nous vivons actuellement une période charnière. Le rapport de force sur le marché du travail entre les employeurs et les employés s’est inversé. La guerre des talents est une réalité et de plus en plus d’employeurs réalisent qu’ils doivent changer leur mode de fonctionnement pour pouvoir subsister.

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