Monthly Archives: November 2019

Facebook-Google Duopoly Digital Ad Spending Forecast Estimates 2019 – Trends, Forecasts & Statistics

Digital ad market consolidation shows little sign of stopping. Rather than disrupting the duopoly, Amazon’s ad business looks to have joined it as a third giant, growing its share primarily from the long tail. By the end of next year, nearly 70% of US digital ad dollars will end up with one of the three leading ad sellers.

By |2019-11-30T16:02:34+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

‘Zimdollars’ Issued for First Time in Ten Years Amidst Continued Hyperinflation

A Complicated EvolutionAfter abandoning the Zimbabwe dollar due to hyperinflation back in 2009, the Reserve Bank of Zimbabwe (RBZ) adopted an international currency basket to stabilize the situation. From there, a RTGS (Real Time Gross Settlement) system was adopted in February this year, with the RTGS dollar set to be at 1:1 parity with the USD. As dollarization of the Zimbabwean economy meant that many residents were protecting their savings via foreign currencies at the time, the flip to RTGS was seen by some as an unethical move by the RBZ, which would pulverize the local value of these commonly held assets.Fast forward to last June, and the RTGS is bid farewell, coupled with a new ban on local transactions in foreign currencies including USD. The Zimdollar was reinstated in digital form. It also was now meant to encompass coinage, RTGS and bond notes, effectively “swallowing” these previous systems.Back to PaperTuesday’s rollout of the new paper and coinage was preceded by reported delays and long lines of people waiting to grab their allotted shares. According to local media, the Governor of the RBZ, John Mangudya, says that the cash injection will be implemented gradually, leaving some Zimbabweans frustrated. A teacher who had withdrawn her money stated:They are giving us 300 [~$20] dollars per week. The money does not last even a day.Alternative means of storing and protecting value have come under pressure from the nation’s government whose president maintains that “You were not getting money from the banks, but on Monday (tomorrow) we are going to inject more money in the banks until we reach a level where you lose appetite to go and get cash from EcoCash.”Mobile Payment Services, Foreign Currencies, and BitcoinMobile cash services such as Ecocash have been the preferred system for many residents of the country to get their hands on hard to come by cash, resulting in premiums and reported charges of up to 50%. The government recently banned such mobile services citing the welfare of the people, only to cause a massive popular uproar, resulting in a lift on the ban just days later — albeit with new limits on transactions. Regional news outlet itwebafrica.com reports that “Latest figures by the Zimbabwean central bank show mobile money accounting for 85% in transaction volumes for the half year period to June 2019.”With inflation still a serious factor (sitting currently at around 300%), cash still running short and issues with infrastructure and unemployment yet troubling the economy, high premiums are preferred to no money at all, as alternative means of value preservation (even if illegal or gray market in nature) continue to be sought after. A professor of business studies at the University of Zimbabwe maintains:What it means is that we will probably have more cash around to feed the black market for currency.Free market rates and artificially set government exchange rates often diverge significantly as Zimbabweans seek to save their hard-earned value from rampant inflation by alternative means of transacting and saving. In the past this has been done by way of foreign currencies and crypto (currently not legal for banks to process) and Zimbabwe could soon see a spike in such activity should the rollout of the new Zimdollar not be everything politicians and central bankers promise.

By |2019-11-30T15:13:24+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Pour résister à Amazon et Google, Line et Yahoo Japan vont fusionner en une « Super App »

Confirmant les rumeurs qui avaient fait bondir leurs actions la semaine dernière, une filiale du japonais Softbank et le groupe sud-coréen Naver ont annoncé, ce lundi, qu'ils allaient enclencher, dans les prochains jours, la fusion du portail internet Yahoo Japan et de la plateforme de messagerie et de paiement mobile Line, très populaire dans l'archipel. Selon un communiqué diffusé dans la matinée, le groupe Z Holdings (l'entité de Softbank qui contrôle Yahoo au Japon) et Line prévoient de finaliser les termes de leurs rapprochements en décembre et d'achever leur intégration au mois d'octobre 2020.Les deux sociétés se proposent de réunir leurs deux services au sein d'une nouvelle coentreprise, valorisée potentiellement 30 milliards de dollars, qui sera détenue à terme à 50 % par Softbank et à 50 % par Naver. Pour permettre cette opération, les actionnaires individuels de Line, cotée sur la place de Tokyo, vont se voir proposer un rachat de leurs titres au prix de 5.200 yens. Ce qui représente une prime de 13,4 % par rapport au cours de l'action du 13 novembre, soit juste avant l'apparition des premières rumeurs sur de potentielles grandes manoeuvres.Pression des géants chinois et américainsDans leur communiqué commun, les deux sociétés expliquent que cette fusion au Japon doit permettre de répondre à la pression générée, désormais sur tous les marchés, par une poignée de géants chinois et américains qui captent, du fait de leurs tailles, toutes les transactions de l'Internet et étouffent les acteurs de second rang. « Il existe actuellement une grande différence de taille entre ces sociétés étrangères et celles du Japon ou de pays asiatiques autres que la Chine », expliquent-ils, sans jamais citer directement Google, Amazon, Alibaba ou WeChat.

By |2019-11-30T14:49:56+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Banques : pourquoi Amazon reste le Gafa le plus menaçant

Apple avait défrayé la chronique plus tôt cette année avec  le lancement de sa carte de crédit - pour l'instant réservée aux Etats-Unis -, en partenariat avec Goldman Sachs. Elle est couplée à un système de « cash back », assez répandu dans le milieu bancaire, qui permet d'être rétribué en fonction de l'utilisation de la carte.Facebook multiplie aussi les initiatives. La plus marquante demeure son projet de création de monnaie numérique, le Libra, qui subit déjà les assauts des superviseurs financiers du monde entier. Mais le réseau social aux 2 milliards d'utilisateurs pousse lui aussi les feux dans le paiement, avec  le lancement récent de son système maison , Facebook Pay.Pour les banques, le plus menaçant des Gafa pourrait toutefois être celui qui se fait le plus discret : Amazon. Le géant de l'e-commerce offre depuis plusieurs années une carte de crédit et des solutions de financement à ses clients. Il a également mis un pied dans l'assurance santé en s'associant avec Berkshire Hathaway et JPMorgan Chase. Et il travaillerait aussi avec la banque américaine sur un projet de comptes courants.« Mon principal rival n'existe pas encore, mais je sais comment il s'appellera : Amazon Bank. » La prophétie émane de la bouche d'un banquier qui s'y connaît autant en établissements traditionnels qu'en néobanques.  Le géant de l'e-commerce a de quoi faire peur . Il est déjà en contact direct avec les consommateurs, les marchands et les banques, contrairement aux trois autres.« La force d'Amazon, ce qui fait le coeur de son business, c'est sa capacité à fournir toujours plus de services à ses clients, que ce soit en ligne ou en physique, rappelle Benoît Flamant, responsable des actions chez Corraterie Gestion, et expert des valeurs digitales. Les services bancaires peuvent en faire partie.» Le système Prime, qui sert déjà à fidéliser ses clients en leur donnant accès à toujours plus de services, comme les contenus vidéo, pourrait servir de rampe de lancement.

By |2019-11-30T11:25:59+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Amazon Beefs Up Its Display Business – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

Most of Amazon's digital ad revenues comes from search, but it’s done a lot to build out a display business as well, and that’s where we expect growth to be fastest in the coming years.This year, Amazon will net $2.76 billion in US digital display ad revenues, making it the No. 3 digital display ad seller in the US after Facebook and Google. Amazon earns display revenues from a number of places, including display ads on Amazon and its other properties (e.g. Twitch), video ads on those same sites and also from off-property ads purchased through Amazon DSP.

By |2019-11-30T11:25:07+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

US Search Ad Revenues 2019 – Trends, Forecasts & Statistics

Google’s position as the search advertising leader in the US is on solid footing, according to our latest US digital ad spending estimates. This year, Google will net more than 73% of US search ad spending, down less than 1 percentage point since 2018.By the end of our forecast period in 2021, Google will have lost more than 2 percentage points more in share. The winner there will be Amazon, which has been the second-largest search ad seller in the US since 2018, when it surpassed Microsoft.

By |2019-11-30T11:22:55+00:00November 30th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La néobanque Nickel se lance à l’international

Nickel passe la vitesse supérieure. Cinq ans après sa création,  la néobanque, rachetée par BNP Paribas en 2017 (95 % du capital), se lance à la conquête des marchés étrangers. Dès l'an prochain, elle proposera ses services en Espagne, avec un premier test à Valence au printemps. Distribué chez un peu plus de 5.500 buralistes en France, Nickel a conclu, de l'autre côté des Pyrénées, un partenariat avec le réseau Fenamix, qui regroupe 6.500 points de vente indépendants qui distribuent notamment la loterie et les paris sportifs de l'Etat. L'objectif est de recruter un million de clients d'ici 2024.En mettant le cap sur l'Espagne, la filiale « low-cost » de BNP Paribas (dont la confédération des buralistes possède aussi 5 %) imite le mouvement opéré par sa concurrente Orange Bank, qui vient d'officialiser son lancement dans le pays, avec une offre 100 % mobile, qui permettra aussi d'avoir accès à des comptes épargne.Sept pays visés en EuropeNickel ne compte pas s'arrêter là. Le groupe prévoit de se lancer dans sept pays européens dans les cinq prochaines années, et vise en priorité le sud du continent (Portugal, Italie, Grèce en plus de l'Espagne). Il pourrait aussi tenter l'aventure en Autriche et en Belgique. « Il y a une demande dans tous ces pays pour une offre bancaire simple, utile et qui s'adresse à tous, considère Thomas Courtois, le président de la néobanque, nommé en avril dernier, qui présentait son nouveau plan stratégique mardi. En termes de distribution, on appliquera la même recette que la France, avec un maillage très fort sur tout le territoire ».

By |2019-11-29T16:25:51+00:00November 29th, 2019|Scoop.it|0 Comments

TikTok : qui se cache derrière l’application qui a conquis les ados du monde entier ? – Sud Ouest.fr

es chiffres vertigineux: quelque 500 millions d’utilisateurs actifs revendiqués, des Etats-Unis à l’Indonésie. La barre du milliard de téléchargements a été franchie en février 2019. TikTok n’a pourtant été lancé qu’à l’automne 2017 par le groupe chinois ByteDance. Il s’agit de la version internationale de l’application Douyin (son nom en chinois), apparue dès 2016 en Chine.TikTok, c’est quoi ?Le concept est efficace: des vidéos brèves faisant la part belle aux sujets musicaux, filmées face caméra ou sous forme de chorégraphies sur le principe du karaoké ou du playback, aux scénarios déjantés et aux paris que se lancent des pré-adolescents devant leur smartphone. C’est simple, créatif, ludique. Le moindre petit film peut être monté, filtré, augmenté, partagé, suivi, liké. Pour le regarder, il suffit de glisser le doigt de haut en bas. La célébrité est à portée de tous, des tubes sont nés à force d’être pris et repris comme fond musical, tel Old Town Road.« Ce succès énorme et immédiat illustre la pertinence de sa stratégie ciblée sur les consommateurs », en l’occurence des jeunes désireux de communiquer de façon « plus directe et expressive », observe Bo Ji, vice-doyen de l’Ecole de commerce Cheung Kong à Pékin. Une recette semblable à celle de l’application de partage de musique Musical.ly, présente majoritairement aux États-Unis depuis 2014 et rachetée par TikTok en 2017 pour plus d’un milliard de dollars. La fusion a permis son décollage international.Dans le top 20 des hommes les plus riches de ChineDe quoi faire de Zhang Yiming, fondateur de ByteDance en 2012 et aujourd’hui âgé de 36 ans, un multi-milliardaire et la figure phare d’une nouvelle génération d’entrepreneurs chinois. Le trentenaire aux lunettes cerclées a intégré en 2019 le top 20 des hommes les plus riches de Chine avec une fortune de 13,5 milliards de dollars, selon le classement de référence Hurun. « Zhang Yiming est un entrepreneur très inhabituel en Chine. Il a bâti quelque chose pour le monde entier. Il comprend les jeunes et leur psychologie », insiste Bo Ji.« C’est d’abord un programmeur informatique », attaché au bon fonctionnement des produits « et bon connaisseur de la technologie », souligne Liu Xingliang, doyen du centre de recherche DCCI Internet Research Institute. Douyin, version chinoise de TikTok, est numéro un dans le pays et avec quelque 400 millions d’usagers actifs selon le cabinet iResearch, elle a su attirer des célébrités. Pour autant, le premier coup d’éclat du jeune Zhang Yiming a été « Jinri Toutiao » (« A la Une aujourd’hui »), un agrégateur d’articles d’informations devenu l’une des applications les plus populaires du pays. 

By |2019-11-29T15:50:35+00:00November 29th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La filière automobile sonne le tocsin

La filière automobile française est en péril, et elle a besoin d'un « plan d'urgence » pour faire face à la mutation du marché et au recul annoncé des ventes. Alors que la Plate-forme automobile (PFA), l'organisme qui regroupe constructeurs, équipementiers et sous-traitants, organise le 2 décembre au ministère de l'Economie une journée de réflexion sur l'avenir du secteur, son président, Luc Chatel, a livré ce jeudi à la presse une analyse alarmiste de la situation, et réclamé l'appui des pouvoirs publics. « Nous sommes en train d'absorber d'énormes bouleversements. Est-ce qu'on va résister ? », s'interroge l'ancien ministre. En tout cas, « tout le monde ne survivra pas », estime-t-il.La filière doit faire face à des transformations majeures. Les changements de motorisation, tout d'abord, avec le développement accéléré de l'électrique afin de réduire les émissions de CO2.  Le recul du diesel menacerait directement 15.000 emplois en France, selon une estimation de la PFA. A cela s'ajoute l'évolution vers des véhicules de plus en plus connectés, préalable à la voiture autonome, ce qui impacte la chaîne de valeur.

By |2019-11-29T14:16:53+00:00November 29th, 2019|Scoop.it|0 Comments

L’image de la SNCF plonge avant la grève du 5 décembre

En 20 ans d'existence, le baromètre Posternak-Ifop n'avait jamais connu ça : l'image de la SNCF plonge avant même qu'une  grève ait eu lieu. « Trimestre après trimestre, l'entreprise publique remontait dans l'opinion. Aujourd'hui, elle plonge. En perdant d'un coup 18 points d'image, elle est sanctionnée par anticipation. La perspective de la journée du 5 décembre annoncée depuis des semaines par les médias a fait son effet, au point qu'un Français sur deux déclare avoir une mauvaise image de la SNCF. Il s'y ajoute déjà des craintes pour les vacances de fin d'année », analyse Claude Posternak, président de la société de conseil dédiée à l'opinion La Matrice et fondateur de Limportant.fr.Résultat, la société ferroviaire retrouve la dernière place du classement qu'elle avait eu tant de mal à quitter. Il est vrai que sa perception par le grand public est très liée à la fréquence et à l'amplitude des mouvements sociaux. En juin 2018, en pleine grève perlée, elle avait ainsi perdu 15 points.

By |2019-11-29T14:15:25+00:00November 29th, 2019|Scoop.it|0 Comments